Richard Long / South America
LONG Richard (Bristol 1945)
Düsseldorf, Konrad Fischer, 1972, 13x12,8, paperback, [32], illustrated cover; artist’s book, 14 drawings by Richard Long: 7 different drawings are printed in black on white background on recto of each leaf and repeated in white on black background on verso. Each drawing is explained in a caption. First edition.
[Bibliography: Joosten - Roettig 2018: pp. 84-85; Lailach 2005: pag. 139; Moeglin Delacroix 2011: pag. 256].
LONG Richard (Bristol 1945)
Düsseldorf, Konrad Fischer, 1972, 13x12,8, paperback, [32], illustrated cover; artist’s book, 14 drawings by Richard Long: 7 different drawings are printed in black on white background on recto of each leaf and repeated in white on black background on verso. Each drawing is explained in a caption. First edition.
[Bibliography: Joosten - Roettig 2018: pp. 84-85; Lailach 2005: pag. 139; Moeglin Delacroix 2011: pag. 256].
LONG Richard (Bristol 1945)
Düsseldorf, Konrad Fischer, 1972, 13x12,8, paperback, [32], illustrated cover; artist’s book, 14 drawings by Richard Long: 7 different drawings are printed in black on white background on recto of each leaf and repeated in white on black background on verso. Each drawing is explained in a caption. First edition.
[Bibliography: Joosten - Roettig 2018: pp. 84-85; Lailach 2005: pag. 139; Moeglin Delacroix 2011: pag. 256].
“(…) exceptionnel petit livre de format carré, le seul de Richard Long à ne comporter que des dessins: un petit nombre de motifs stylisés tels des signaux (cercle du soleil, silhouette d’un condor, spirale, etc.), tracés au cours d’un voyage à travers l’Amérique du Sud à l’aide des matériaux naturels trouvés sur place (galets, poussière d’or, etc.), dans des circonstances que précise une brève légende. Ces dessins schématiques sont imprimés deux foix, en positif (noir sur fond blanc) et en négatif (blanc sur fond noir), au recto et au verso d’une même page. Tout se passe donc face faisaient allusion au double transfert qui, pour faire ce livre, a consisté à reporter sur papier ce qui a d’abord été dessiné sur le sol au contact direct des choses. Par là le livre s’affirme explicitement comme une trace du même ordre que l’empreinte photographique, à laquelle fait inévitablement penser la reproduction des images en positif et en négatif.” (Moeglin Delacroix 2011)
