“Dans deux livres de Michele Zaza, «Naufragio euphorico» (1974) et «Dissidenza ignota» (1973) où un vieil homme et une vieille femme, en vérité le père et la mère de l’artiste, jouent avec lui les personnages de scénarios mystérieux, des visions et apparitions dans un miroir entretiennent la confusion entre les images d’un rêve et le pressentiment de la mort (...). Il arrive, en effet, que les «vies d’artistes»racontent aussi la mort des autres. Un nombre significatif de livres narratifs traitent, explicitement ou non, de la disparition d’un proche”. (Anne Moeglin-Delcroix)